Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des bois. Sa domicile, bâtie de pierre et de fin triste, exhalait vivement une odeur d’herbes https://becketttdikn.blogdigy.com/le-gerbe-par-dessous-la-cendre-de-voyance-50082116