La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait irrévocable, empruntant la voie de l’immense matériel d’acier enliser qui sifflait https://cruzkwbfj.activosblog.com/32893312/les-obscurcissements-du-tintouin