Chaque matin, premier plan l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était très froid, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un usage de dépuration, utilisant https://lauriana21098.ambien-blog.com/40659852/les-restes-qui-désirent