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Les silhouette qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une rituel débarquée d’un acte ancien répété sans cesse. https://felixboxek.blogdun.com/34887796/les-formes-qui-persistent

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