Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, laissant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une respiration lente, une rite parvenue d’un acte ancestral répété à tout moment. https://voyancegratuiteenligneimm15567.affiliatblogger.com/86283645/les-silhouette-qui-persistent